Ce second chapitre recèle un certain nombre de secrets, mais demande aussi un excellent timing. En effet, vous allez vite vous rendre compte qu’il y a aussi des villages à secourir, et les atteindre avant qu’ils ne soient complètement détruits nécessite de mettre en place une très bonne tactique. Le jeu en vaut néanmoins la chandelle, puisqu’un des villages cache l’accessoire Barter. Par ailleurs, Nodion est une fois de plus votre allié. Mais en l’absence d’Eltosian, c’est Lachesis qui défend le château. Cette princesse n’est pas du tout entraînée pour le combat et a besoin de votre aide. Assistée de 3 chevaliers, elle vous prêtera main-forte tout au long du chapitre. Mieux encore, il est possible de la recruter ! Quoiqu’il en soit, les 3 chevaliers de Nodion vous assisteront, et une belle récompense attend les joueurs qui auront réussi à les garder en vie tous les trois jusqu’à la fin du chapitre. Cependant, vous ne les dirigez pas, et ils vont parfois au devant des ennuis. Votre technique devra donc savoir faire preuve de souplesse pour s’adapter à leur façon de jouer. Heureusement, il est possible de les soigner.
Mais voyons tout cela dans le détail. Pour avoir une chance d’obtenir le Barter, vous devrez jouer au mieux chaque tour. Toute perte de temps sera fatale aux villages du nord de la carte. N’hésitez pas à jouer sur plusieurs sauvegardes, car certains passages sont assez délicats. Pour plus de facilité, voici le détail au tour par tour de ce que vous devrez faire pour récupérer le Barter.
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Elliot : La petite diable de princesse Lachesis, cette effrontée qui m’a toujours insulté... nous verrons bien cette fois. Quand Nodion sera encerclé par une armée entière, elle ne pourra plus refuser mes avances. Je la ramènerais à Highline et j’en ferais ma femme, même si je dois user de la force pour cela. |
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Phillip : Notre job est de protéger le château, compris ? Ne vous laissez pas distraire par l’ennemi. Contentez vous de rester à votre place et de défendre ! |
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Au château d’Amphony,
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Mac Beth : Ainsi Highline a envoyé son armée. Bien, alors faisons comme prévu et envoyez les voleurs que nous employons pour piller les villages. Nous n’aurions jamais pu faire une chose pareille du temps de l’ancien Roi, mais Shagaar semble bien plus facile à berner. Prenez tout ce qui a de la valeur dans les villages et ramenez-le au château. |
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Au château de Mac Kily, Clement : Highline attaque Nodion ? Hmmm... de quel coté allons-nous pencher ?... Attendons donc un petit peu. Ne bougez pas la moindre troupe et observons la situation. |
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Ethrin : Diadora, vous allez bien ? Mon frère est si inquiet pour vous. Diadora : Merci Ethrin. Je vais bien. Je suis très heureuse de pouvoir suivre Sigurd. Ethrin : Etre amoureux d’une si tendre femme, mon frère est vraiment chanceux. Diadora : Ethrin, il y a quelque chose que j’aimerais vous donner. Acceptez ceci s’il vous plaît. Ethrin : Oh, c’est le Light Sword ! Vous me donnez un si bel objet ? Diadora : Oui, je sais que vous en ferez un bon usage. Ethrin : Merci Diadora, je vais le garder précieusement. |
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Lachesis : Lord Sigurd ! Vous êtes venu me sauver. Dieu merci ! Je ne savais plus quoi faire... Sigurd : Lachesis, je suis si content de te voir en vie. Eltosian est-il toujours en prison ? Lachesis : Oui, mon frère est toujours retenu à Agusti. Tous les lords d’Agustria lui sont désormais hostiles. Lord Sigurd, pourriez-vous nous aider ? Je dois allez sauver mon frère... Sigurd : Je n’aime pas engager des troupes dans un autre pays, mais cette fois-ci, je ne peux pas faire autrement. Notre Roi de Grandbell a déjà autorisé mon intervention, depuis que nous avons appris que le Prince Shagaar avait assassiné son père, le Roi Imuka, et projette maintenant d’envahir Grandbell. Notre Roi estime qu’il est nécessaire de sauver Eltosian, car il a ardemment défendu la paix. Lachesis, je pars sauver Eltosian, ne t’en fais pas. |
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Oifaye : Lord Sigurd, nous avons finalement pris Highline. Qu’allons nous faire maintenant ? Sigurd : Bon, la principale menace est écartée, mais Eltosian est toujours retenu prisonnier à Agusti. De plus... Oifaye : De plus ? Sigurd : Les villages de la forêt semblent être en proie aux pilages. Si cela est possible, nous irons leur porter secours. Oifaye : C’est vrai. Cela témoignera en plus de notre non-hostilité, et amélioreras notre popularité auprès de la population locale. Nous devons partir aussi vite que possible. Si nous e nous dépêchons pas, ce sera trop tard ! |
Au château d’Amphony,
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Shagaar : Quel idiot ! Pendant que tu satisfais ton avidité, le château d’Highline est tombé ! Une si mauvaise gestion... Je t’en tiens pour entièrement responsable, Mac Beth ! Mac Beth : Oh, toutes mes excuses, Lord Shagaar ! J’ai immédiatement embauché Vortz et son armée de mercenaires. |
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Et effectivement,
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Vortz : L’ordre d’attaquer nous est parvenu. Alors, au boulot ! Mais cela ne signifie pas pour autant que nous devons nous jeter tête baissée dans la bataille. Nous allons d’abord rester un peu ici et observer la situation. Hey, Beowulf, qu’est-ce qui ne va pas ? Beowulf : Je ne suis pas très sûr de ce coup-ci. Ce gars, Mac Beth, je ne peux pas la supporter. Je pensais qu’il était temps pour moi de trouver un nouvel employeur. Vortz : Fais comme tu veux, les mercenaires sont libres. Tu peux travailler pour qui tu veux, cela ne change rien. Aujourd’hui nous sommes alliés, et demain nous serons ennemis, c’est notre métier. Beowulf : C’est vrai. Mais je n’ai nulle envie de me retrouver face à toi, je n’aurais aucune chance. Vortz : Celui qui me vaincra n’est pas encore né ! |
Dans un petit village à l’ouest de la grande forêt,
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Levin : Ancien, tout le monde semble pris d’une soudaine agitation, que se passe-t-il ? Ancien : Ah, mais c’est notre jeune ami barde. Tu ferais mieux de t’enfuir toi aussi, les pillards approchent. Levin : Pillards ? L’armée d’Agusti ne nous protège-t-elle pas ? Ancien : C’est la guerre civile, Levin. Personne n’a le temps de s’occuper de gens comme nous. Et sans vouloir en rajouter, la rumeur dit que c’est le Roi d’Amphony lui-même qui a envoyé ces voleurs. Levin : Mais c’est horrible ! Je vais aller leur montrer, moi, ce qu’il en coûte de piller les villages. En retour, tu me feras une belle offrande. Ancien : Arrête de dire n’importe quoi. Si tu veux fuir, pars tout de suite. Je n’ai pas le temps de jouer avec toi. Levin : Diable ! Ma parole n’a donc plus le moindre crédit. C’est vrai que... Sylvia : Hé, Levin ! Où vas-tu ? Tu partirais sans moi ? Levin : Eh, Sylvia ! Tu m’as trouvé ? Sylvia : Alors, tu t’es bien amusé avec moi, et maintenant que c’est terminé, tu t’en vas ? Levin : Eh, c’est toi qui t’es monté la tête avec ca. Ce n’était qu’un simple flirt. Tu habites ce village, moi pas. Tu es une danseuse, et je suis un barde. Il ne faut pas faire toute une histoire de cela. Je pensais que nous étions de bons amis, c’est tout. Sylvia : Mais... et quand tu disais que j’étais jolie, et que... J’étais si heureuse... Levin : J’ai dit ca ? Ah oui,... je n’aurais peut-être pas dû en faire tant. Hé, hé, ne pleure pas. Ca y est, maintenant, tout le monde nous regarde. Bon, bon, d’accord, allons-y ensemble. Mais ca risque d’être un peu sauvage, tu ferais mieux de faire attention. Sylvia : C’est bon, j’aime le travail sauvage ! Levin : Eh, je croyais que tu pleurais, et tu ris maintenant ! Cette fille ressemble à une enfant... Sylvia : As-tu dis quelque chose ? Levin : Non, non, rien du tout ! Allons-y ! |
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A la fin de ce tour, un nouveau voleur attaque le village que vous veniez de sauver. Au nord, Vortz et Beowulf débarquent avec toute une armée de mercenaires employés par Mac Beth. Enfin à l’est, un escadron de Pégase, avec Fury à son commandement, arrive à Agusty après un long périple...
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Vortz : Okay, c’est l’heure du spectacle, les gars ! Chargez sans reculer ! Nous allons leur montrer ce qu’une armée de mercenaires est capable de faire. |
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Fury : Ah, le château d’Agusti, enfin... Nous allons pouvoir souffler un peu et faire une pause. Nous pourrons peut-être même trouver des informations sur le Prince Levin dans cette ville. |
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